L’ordre des Etats-Unis au gouvernement français déclaré à la presse !
Le frein politique des décisions juridiques n’est qu’une réponse aux exigences des EU pour maintenir Georges en prison à vie, une « VRAIE perpétuité » disent-ils de nouveau en 2013.
En effet, la porte parole des Etats Unis, Victoria NULAND, avait déclaré le 11 janvier [1] « Nous nous sommes constamment opposés à sa sortie de prison ».
Grace Meng, députée américaine, avait écrit au gouvernement français dans le même sens et 20 autres députés signent sa lettre : « Maintenant, On a compris que la cour d’appel française autorise à Georges A. une libération, conditionnée par une déportation vers le Liban. La décision de déportation incombe au Ministère des Affaires Etrangères. Votre gouvernement a le pouvoir d’assurer que ce terroriste ne sorte pas et ne rejoigne pas son pays le Liban. » [2]. A savoir le père de cette députée, Jimmy Meng lui même ex-député et qui a financé sa campagne électorale, est actuellement en prison pour fraude fiscale, tout comme certains membres du gouvernement français.
Cette bande de politique ne comprendra jamais le combat de la liberté que mène Georges ABDALLAH contre la colonisation du Liban (1978) et de la Palestine (1948) car ce combat n’est pas coté en bourse. « Je pense qu’il serait juste de rédiger à notre tour une pétition contre le père de Grace MENG, une pétition intitulée (maintenir Meng en prison à vie). Car une fois libéré.. , Jimmy Meng pourrait très bien reprendre ses actes terrifiantes de corruption et de communautarisme;… » réagit Asad ABU KHALILsur l’affaire ABDALLAH, professeur en sciences politique à l’université de Californie .
Dumas, ministre des affaires étrangères français à l’époque de l’arrestation de Georges, avait déclaré en 2010 [3] : « les pressions politiques américaines se faisaient par voie diplomatique, des notes qui arrivaient au juge à travers leur avocat.. ».
Les politiques américains ont-ils le droit de s’adresser au gouvernement pour arrêter une décision de justice ?
Source : http://blogs.mediapart.fr/blog/resistance-liberons-georges-33/280413/georges-abdallah-libere-reste-en-prison-sur-ordre-des-etats-unis
Georges ABDALLAH libéré reste en prison sur ordre des Etats Unis
L’ordre des Etats-Unis au gouvernement français déclaré à la presse !
Le frein politique des décisions juridiques n’est qu’une réponse aux exigences des EU pour maintenir Georges en prison à vie, une « VRAIE perpétuité » disent-ils de nouveau en 2013.
En effet, la porte parole des Etats Unis, Victoria NULAND, avait déclaré le 11 janvier [1] « Nous nous sommes constamment opposés à sa sortie de prison ».
Grace Meng, députée américaine, avait écrit au gouvernement français dans le même sens et 20 autres députés signent sa lettre : « Maintenant, On a compris que la cour d’appel française autorise à Georges A. une libération, conditionnée par une déportation vers le Liban. La décision de déportation incombe au Ministère des Affaires Etrangères. Votre gouvernement a le pouvoir d’assurer que ce terroriste ne sorte pas et ne rejoigne pas son pays le Liban. » [2]. A savoir le père de cette députée, Jimmy Meng lui même ex-député et qui a financé sa campagne électorale, est actuellement en prison pour fraude fiscale, tout comme certains membres du gouvernement français.
Cette bande de politique ne comprendra jamais le combat de la liberté que mène Georges ABDALLAH contre la colonisation du Liban (1978) et de la Palestine (1948) car ce combat n’est pas coté en bourse. « Je pense qu’il serait juste de rédiger à notre tour une pétition contre le père de Grace MENG, une pétition intitulée (maintenir Meng en prison à vie). Car une fois libéré.. , Jimmy Meng pourrait très bien reprendre ses actes terrifiantes de corruption et de communautarisme;… » réagit Asad ABU KHALILsur l’affaire ABDALLAH, professeur en sciences politique à l’université de Californie .
Dumas, ministre des affaires étrangères français à l’époque de l’arrestation de Georges, avait déclaré en 2010 [3] : « les pressions politiques américaines se faisaient par voie diplomatique, des notes qui arrivaient au juge à travers leur avocat.. ».
Les politiques américains ont-ils le droit de s’adresser au gouvernement pour arrêter une décision de justice ?